EN RACHETANT AIRECO ET AIRPOLL, CLAUGER AJOUTE LE TRAITEMENT DES REJETS ATOMOSPHÉRIQUES À SON OFFRE

« J’ai connu Clauger par le procédé AIRECO permettant le traitement et la valorisation des rejets atmosphériques. Cette société d’une quinzaine de personnes s’est fait racheter par Clauger en 2004. J’ai créé alors une société unipersonnelle, AIRPOLL : j’achetais de temps en temps un appareil AIRECO nu à Clauger et m’occupais de l’assemblage pour des petits projets que j’arrivais à maîtriser seul. Petit à petit, les commandes se sont multipliées et ont grossi. J’ai alors fait appel à Clauger pour m’aider à fabriquer ce que souhaitaient mes clients. À l’époque, Clauger n’avait pas d’atelier plastique. Avec APC côté fabrication, on arrivait à tout faire en inox. Dans les années 2011-2012, on a décidé de faire ensemble des plus gros projets pour traiter des poussières et récupérer de l’énergie sur des sécheurs de maïs : on parlait à l’époque de récupérer 3,5 mégawats/heure, soit l’équivalent de la production annuelle de trois éoliennes. Nous avons commencé à fabriquer avec le soutien de l’ADEME des installations qui font 25 mètres de haut, 40 mètres de large et 20 mètres de profondeur. On a reçu d’ailleurs des prix d’innovation lors du salon POLLUTEC.
C’est alors que Frédéric Minssieux m’a convaincu de rejoindre Clauger, pensant qu’il y avait du sens à ajouter le traitement des rejets atmosphériques à l’offre Clauger : les rejets atmosphériques sont souvent très chauds, il faut les refroidir. Ainsi, on arrive à les condenser et à obtenir différents changements d’état qui permettent une dépollution. Au niveau odeurs, cela a un vrai impact aussi : la soupe chaude sent plus fort que la soupe froide ! Tout est un peu lié. Pour traiter des rejets atmosphériques, les expertises en froid industriel et air process de Clauger sont nécessaires. En 2014, on a finalement créé au sein de Clauger tout un pôle Environnement. Depuis 2017, je fais partie du pôle 3E « Efficacité Énergétique et Environnementale », dédié au traitement, à la valorisation et à l’optimisation des rejets atmosphériques. Ensemble, on a été bien plus loin que ce que je pouvais imaginer tout seul au départ. L’avenir est prometteur : la réglementation sur la qualité de l’air devient de plus en plus stricte. Les industriels sont aussi plus sensibles qu’autrefois au respect de l’environnement. »

Audits de mesure.

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